Moté

La vie, c’est comme les mirabelles

Les tonneaux fuient par temps d’orage


Ils se mirent tous à trembler en même temps. Ils vibrèrent de plus en plus fort jusqu’à ce que, soudainement, dans une cacophonie de « pop » retentissants, des jambes surgissent de chacun des tonneaux. Ils se démenèrent jusqu’à se tenir droit sur leurs nouveaux membres. Puis, ils s’enfuirent en courant à toute jambe sous les regards ahuris des vignerons.

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