Le texte du jour est complètement cryptique. Je ne m’attends pas à ce que vous le compreniez. Mais je me suis un peu amusé à l’écrire, en jouant sur les sons.
Sur mon chemin, j’avance à quatre pattes. Je tâtonne, mais je persévère face à Perséphone. J’aimerais m’arrêter, mais je voudrais avancer. Je me perds parmi des piques qui me picotent mais me passionnent, comme les cheveux de Perséphone. Je passe mais me surpasse, car l’impossible n’est pas permis, pas sans se battre et se débattre.
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